Ranpo Kitan: Game of laplace épisode 2

Alors là si je m'y attendais ... et bien non, pas du tout XD Je pensais vraiment que la saison entière ne formerait qu'une seule et unique enquête mais il semble que ce ne soit pas du tout le cas, étant donné que ce deuxième épisode vient apporter une conclusion aux éléments introduits dans le premier. Si c'est une surprise, je ne sais pas encore si elle est bonne ou mauvaise. Bonne parce que cela permettra à la série de de se renouveler, mauvaise parce que du coup les scénaristes se sont sentis obligés de tout nous faire avaler en l'espace de 20 min. Si le format 20 min une enquête marche presque toujours plutôt bien (détective conan en est la preuve), ici c'est une autre histoire. Le fait est que le premier épisode était surtout là pour nous poser les bases de cet univers un peu morbide, en oubliant de s'attarder sur l'enquête elle-même par moments. Cela ne m'avait pas dérangé outre mesure, mais c'est parce que je ne pensais pas avoir avoir le fin mot de cette histoire à la fin de l'acte suivant. Si l'histoire en elle même est touchante, les choses vont beaucoup trop vite... Les personnages eux, continuent de se dévoiler. Par contre je ne m'attendais pas à ce qu'il y est autant de cas psychiatriques dans cet anime, parce que pour vouloir être transformée en chaise par l'homme qu'on aime, faut être sacrément atteinte. Kobayachi reste lui cet enfant carrément flippant mais surdoué. Le detective quant à lui, reste un peu dans l'ombre lors de cet épisode mais j'ai le sentiment que ça sera pour mieux nous en mettre plein la vue plus tard x) On retiendra l'animation de qualité toujours présente, et la bande sonore rappelant légèrement celle de la saga professeur layton, ce qui colle à merveille avec cette ambiance de mystère. Gros plus pour cette scène hilarante mettant la légiste en lumière, rien que pour ça, cet épisode doit être vu!

"Pour finir, ne le refaites pas chez vous les enfants!"

Note: 6.5/10: malgré une forme toujours impec' on regrette que le fond ne nous laisse pas le temps de respirer un peu plus. Bon, sans être extraordinaire.